Chez Ruquier,
"Ce ne fut pas Waterloo non non
mais ce ne fut pas Arcole
Ce fut l'heure où l'on regrette
d'avoir manqué l'cole"
La kyrielle de commentaires désobligeants face aux deux nouvelles recrues de Ruquier a de quoi interpeller. Messieurs Zemmour et Naulleau doivent avoir de nombreux amis branchés "Twitter". Je n'ai pas vraiment le souvenir d'avoir éprouvé une quelconque jouissance intellectuelle à l'audition des deux oiseaux.
Zemour ressassant "ad nauseam" quelques vieilles obsessions stériles et Naulleau ne dépassant que rarement le cadre de la "bien-pensance" rive gauche/ droite (a vrai dire on ne sait plus) parisienne... L'un et l'autre délivrant des critiques littéraires plutôt prévisibles et convenues. Je ne préfère pas parler de politique, cela deviendrait gênant. Ils étrillent bien volontiers les seconds couteaux peu influents et conservent une "distance raisonnable" lorsqu'il s'agit d'hôtes plus en vue.
Ces demoiselles ne furent ni meilleures (c'était pourtant à portée...) donc, ni pires, que leurs prédécesseurs. Elles ont une excuse, elles s'installent et doivent s'adapter. Un peu d'indulgence ne nuit point, le reste relève d'a priori désolants.
Certains crient au complot, faisant du plateau de Ruquier une succursale de la gauche révolutionnaire à un an d'échéances politiques majeures. C'est vrai qu'entre une socialiste rive droite et une journaliste du Figaro, le cercle des amis de l'UMP peut trembler...
Sinon madame Polony, lorsque vous souriez, un peu contrainte et forcée,à un jeu de mot douteux de votre sympathique patron, vous ressemblez beaucoup à votre illustre prédécesseur, le sieur Zemmour....
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